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Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l’est moins, c’est éviter l’utilisation de procédés ou de produits dangereux lorsqu’un même résultat peut être obtenu avec une méthode présentant des dangers moindres.

Tenir compte de l'évolution de la technique, c'est ajuster la prévention en fonction des avancées techniques et des changements organisationnels. Pour inscrire la prévention au cœur du métier, il est essentiel que la sélection des méthodes opérationnelles, des procédures et du matériel prennent en considération les innovations technologiques, techniques et organisationnelles.

Adapter le travail à l'homme, en particulier en ce qui concerne la conception des postes de travail ainsi que le choix des équipements de travail et des méthodes de travail et de production, en vue notamment de limiter le travail monotone et le travail cadencé et de réduire les effets de ceux-ci sur la santé. Article L4121-2 du Code du Travail.

Combattre les risques à la source, c'est intégrer la prévention le plus en amont possible. Attention, nous parlons ici de "prévention" à ne pas confondre avec les "protections" le plus en amont possible. À défaut, nous pouvons toujours appliquer des actions correctives après coup.

Évaluer les risques qui ne peuvent pas être évités. Par définition, nous pensons naturellement au Document Unique d'évaluation des risques professionnels (DUERP) et à son plan d'action. Au fil de nos expériences, nous nous rendons compte que c'est inhérent à chaque action et pour toute organisation de l'activité professionnelle.

Lors de nos expertises sur les risques professionnels, nous fondons nos conseils sur le socle, la base en termes de sécurité au travail : les 9 principes de prévention.

Avec 738 décès liés aux accident du travail reconnus, le rapport annuel sur les risques professionnels publié par la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM) révéle des chiffres alarmants. Avec 93 de plus qu'en 2021, cette année 2022 a enregistré le plus grand nombre de morts au travail depuis au moins 20 ans.

En cette période de forte chaleur, les activités professionnelles sont plus difficiles à suporter. Le corps se déshydrate, pert des mineuraux et dilate les vaisseaux sanguins pour réguler sa température. Le débit cardiaque s’accélère et le risque cardiaque augemente également. Depuis le 21 avril 2021, une mesure est entrée en vigueur en faveur des salariés français.

Ces risques psychosociaux professionnels commencent à apparaître de plus en plus dans le monde du travail et ne sont pas à prendre à la légère. Ces syndromes peuvent nuire à la santé mentale et psychologique des travailleurs. Désormais le burn-out est dans la bouche de nombreux travailleurs. Cependant que cela veut-il dire ? Et comment différencier ces trois sources d'épuisement professionnel ?

Campagne lancée en 2013 en Angleterre, le Dry January ou « Défi de janvier » est aujourd’hui un mouvement international qui repose sur un concept simple : faire une pause dans sa consommation d’alcool pendant un mois. Ce défi volontaire a montré les effets bénéfiques sur sa santé (sommeil, poids, énergie…), sur ses économies et aussi dans sa vie professionnelle.

Plus de 8 salariés sur 10 utilisent ce « bon courage ». Plus de la moitié formulent régulièrement « ça va comme un lundi » et c’est sans compter « faut bien reprendre un jour » pendant la rentrée.